Kawasaki repart avec une équipe d'usine et un duo WSBK

Kawasaki repart avec une équipe d’usine et un duo WSBK

SBK


(RacingNews.fr) – Kawasaki a annoncé sa sélection pour la course d’endurance de Suzuka. Pour la 43e édition des 8 Heures de Suzuki, Kawasaki fera à nouveau appel au champion du monde Superbike Jonathan Rea. Alex Lowes, coéquipier de Jonathan Rea en Championnat du monde Superbike, et Leon Haslam, pilote BSB, complètent l’équipe d’usine Kawasaki.

Jonathan Rea

Jonathan Rea veut réitérer la victoire Kawasaki de 2019

Zoom

Kawasaki dispose donc de trois pilotes expérimentés qui ont déjà gagné plusieurs fois à Suzuka. Jonathan Rea et Alex Lowes étaient donc les choix logiques. Avant même l’annonce, nous avons demandé à Jonathan Rea quel autre pilote entrait en ligne de compte.

Leon Haslam était le candidat préféré de Jonathan Rea. « J’ai gagné la course 2019 avec lui. Il a beaucoup d’expérience. Nous pourrions former une équipe solide ensemble. Alex et Leon ont gagné plus souvent que moi à Suzuka. Je suis donc le plus faible de l’équipe (rires ; ndlr) », plaisante Rea.

L’équipe WSBK donnera une nouvelle fois un coup de main aux ingénieurs japonais. Pour Jonathan Rea, l’objectif de son voyage au Japon en août est clair. Un podium est l’objectif minimum, mais Rea ne serait vraiment satisfait qu’avec une victoire. « L’objectif de notre retour à Suzuka est la victoire », confirme Rea.

Départ de Suzuka

La course culte de Suzuka aura lieu le premier week-end d’août Zoom

« Nous avons déjà gagné là-bas. Cette année, avec Alex et Leon, nous disposons d’une très grande expérience », affirme avec confiance le champion du monde des records en Superbike. « C’est un gros projet. Nous allons faire des tests très intensifs. Nous prenons cette course très au sérieux et nous avons une équipe de pilotes très forte ».

Kawasaki a déjà gagné deux fois à Suzuka. Outre sa victoire en 1993, Kawasaki s’est également imposé en 2019 lors de la dernière course de 8 heures organisée à ce jour à Suzuka. La pandémie de coronavirus avait contraint à l’annulation de l’épreuve les deux années précédentes.

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