Le Supercars Australia introduit des formats de télé-réalité sur le modèle de l'UFC.

Le Supercars Australia introduit des formats de télé-réalité sur le modèle de l’UFC.

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Le Supercars Australia introduit des formats de télé-réalité sur le modèle de l'UFC.

(RacingNews.fr) – Australian Supercars lancera un nouveau format documentaire et une recherche de talents dans le cadre d’une « expérience sociale » en 2020. Il s’agit d’un format de télé-réalité introduit par l’Ultimate Fighting Championship (UFC).

Supercars Australia introduit un format TV innovant
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Le premier format s’inspire de la série All or Nothing d’Amazon, qui s’intéresse aux coulisses du club de Premier League Manchester City. Il examinera de près la saison d’une équipe de Supercars.

La seconde est conçue pour donner aux téléspectateurs l’impression d’une « expérience sociale » et recherchera un jeune pilote pour les catégories inférieures de Supercars. Il est basé sur le succès surprenant de la série télévisée australienne « Married at first Sight ».

Le patron de Supercars, Sean Seamer, explique au podcast « Below the Bonnett » qu’il veut faire d’une pierre deux coups : d’une part, mieux faire passer le charisme des pilotes qui sont extrêmement populaires en Australie, et d’autre part, maintenir l’intérêt pour la série de courses entre les week-ends de course.

Rendre tangibles les conducteurs sans casque

« Notre problème, c’est que nos stars portent un casque dès qu’elles montent dans la voiture », dit-il. C’est pourquoi nous consacrons aujourd’hui beaucoup d’énergie à une stratégie médiatique « toujours disponible ». Nous ne pouvons pas courir 52 week-ends par an, alors quel contenu pouvons-nous fournir ? Nous devons être engagés tout au long de l’année pour garder nos fans engagés. »

« Nous avons déjà commencé à filmer la série documentaire de type « Tout ou rien », et nous suivons une équipe tout au long de l’année. Et nous avons déjà un plan pour une émission de télé-réalité à la recherche de la prochaine star des Supercars : nous entassons douze enfants dans une maison du Queensland. Ils s’entraîneront avec (l’ancien pilote de supercar) Paul Morris et seront mis dans des situations sociales folles. Un peu d’expérience sociale, un peu de course. »

Le gagnant recevra une place sur la grille de départ des championnats Super3 et Super2, les catégories inférieures aux Supercars. Selon Seamer, ils se sont inspirés du patron de l’UFC, Dana White, qui a connu un grand succès avec une entreprise de MMA. « L’UFC est tout simplement le meilleur dans ce domaine », estime Seamer. « Dana White est incroyable. Ce qu’il a fait avec le sport, sa façon de comprendre les gens et de leur fournir du contenu – lui et son équipe ont fait un travail remarquable. »

Il précise également que Supercars ne cherche pas à copier le documentaire de Netflix sur la Formule 1, Drive to Survive : « Je suis heureux que nous ayons commencé à filmer avant la sortie de ce documentaire, afin qu’il ne ressemble pas à une copie. Il est important pour nous d’élargir notre public. Cela nous rend plus accessibles. Cela donne aux gens une chance de mieux connaître nos stars, qui ont généralement toujours un casque sur la tête dans la voiture. »

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